HISTORIQUE  

 le grand public n'a accès qu'à une information superficielle sur les Huiles Essentielles.  Il est vrai que ce domaine si pointu, où les contrefaçons ne sont pas rares;

Déjà 20 siècles av J.C., l'empereur de Chine Kwayg.T mentionne les propriétés de très nombreuses plantes. Toutes les civilisations antiques ont développé à côté de l'agriculture, la médecine par les plantes et la plupart des grands médecins du passé ont été des phytothérapeutes.Au cours des siècles, cette utilisation s'est appelée PHYTOTHERAPIE, puis grâce à Gattefossé en 1927 à Lyon, « AROMATHERAPIE ».
Selon les époques, les caractéristiques médicinales ou aromatiques, ont prévalu (conservation des momies, aromatisation des bains, désinfection des plaies avec les onguents, parfums, vins aromatiques au Moyen-Age).

Actuellement, bien que peu enseignée dans les écoles officielles, la science aromathérapique voit son développement s'accroître, grâce à des thérapeutes persévérants et non traditionalistes.

le développement de l'AROMATHERAPIE, en France, mais également en Italie, en Suisse, tout cela, non sans difficultés, de tous genres. Le Dr Louis-Claude Vincent apporta avec la bioelectronique d'interessantes ouvertures...

On admet désormais, que cette multitude d'Huiles Essentielles pures, savamment dosées et préparées parfois en mélange, sont d'un grand secours à l'organisme, si elles sont de qualité, et prescrites de manière avisée.
Postulat essentiel: en effet, si les Huiles Essentielles possèdent des qualités extraordinaires, il convient d'être prudent dans leur maniement en usage interne: insolubles dans l'eau, elle peuvent être cause de brûlures buccales et gastriques sérieuses, et même être toxiques en raison de certaines fonctions chimiques, ou même être caustiques en usage externe.

Si depuis des siècles, les aromates et les résines ont été utilisés lors des cérémonies religieuses, les sacrifices et pour embaumer les défunts, il est difficile de fixer la date exacte de la première extraction d’ « huile essentielle ».


Les témoignages les plus anciens concernant l’obtention de produits naturels sont contenus dans les livres sanscrits des Ayurvedas.


Les Hindous connaissaient la fermentation, en tiraient des produits par distillation comme les essences de calamus et d’andropogon. Mais il s’agissait de solutions alcooliques : les premières distillations ont servi à obtenir de l’alcool à partir d’un vin, de l’esprit à partir de miel fermenté.


Les Egyptiens et les Perses étaient experts dans l’art de la distillation. Ils isolaient les parfums, connaissaient l’essence de térébenthine, issue de la résine du « Pistacia terebenthus » : sans doute la première huile essentielle extraite par distillation sèche.


Les Grecs firent grand cas des huiles à parfum. Ils s’en servaient pour guérir. Lors de l’épidémie de peste à Athènes, Hippocrate (377 av. J.-C.) prescrit des grands feux de genévrier, de cèdre, de bois odoriférants et de plantes aromatiques. Au 1er siècle de notre ère, un médecin grec d’Asie Mineure, Discoride, a écrit un ouvrage « Au sujet de la Matière Médicale » évoquant les usages médicaux des eaux distillées.


Les Romains, grands utilisateurs de parfums, utilisaient les aromates sous forme de graisse aromatique ou huile parfumée. Ils connaissaient les propriétés antibactériennes et antiseptiques des plantes aromatiques qu’ils cultivaient. Lors de la grande épidémie de peste, Esculape aurait conseillé de pratiquer des fumigations de plantes à essences comme le romarin, le laurier, la sauge, la cannelle, la girofle.


Les Arabes, experts en « Alchémie », médecine et eaux de sources naturelles, ont inventé, au Haut Moyen-Age, le serpentin permettant de perfectionner la réfrigération du produit distillé.


Au IX ème siècle, les écrits de Geber donnent la description de la distillation sèche et de la distillation aqueuse.


Au XIII ème, Arnold Villanova de Bachone donne, avec la térébenthine et le romarin, la première description sérieuse de distillation d’huiles essentielles. Raymond Lulle réussit celle de la sauge. A la même époque on réussit la distillation de l’amande amère, de rue, de cannelle, de rose, de santal. Mais il s’agissait en fait d’eaux distillées aromatiques.


Au XIVème, les appareils distillatoires évoluent. Seule l’huile de térébenthine représente une véritable huile essentielle.


A la fin du XVème, un médecin de Strasbourg, Jérôme Brunschwig, ne mentionne que les huiles d’aspic, de térébenthine, de bois de genévrier et de romarin, mais ces distillats étaient encore fortement alcoolisés.


Au XVIème, Giovanni Battista della Porta écrit le livre « De Distillatione » où il fait la distinction des huiles grasses, des huiles essentielles et la manière de séparer les essences des eaux distillées aromatiques.


Au XVII ème, les huiles essentielles connaissent leurs premières applications en tant que telles. En Provence en particulier, apothicaires et herboristes, prescrivent peu à peu les huiles essentielles de lavande, de thym, de romarin.


A la fin du XIXème, avec l’avènement de la chimie organique, les essences livrent peu à peu leurs secrets : elles sont le mélange de nombreux composants, terpènes, alcools, esters, aldéhydes, cétones, phénols...


Ce n’est que vers 1970-1980, que certains médecins se spécialisent en phytothérapie et en aromathérapie - le Dr Jean Valnet signe le premier traité en 1976 - et prescrivent des préparations magistrales à base d’huiles essentielles telles que gélules, suppositoires, ovules, sirops, pommades, gels, crèmes, et gouttes en traitement, un ensemble thérapeutique capable de soulager voire de guérir. Encore faut-il respecter la posologie et la durée du traitement.

Conclusion

Affirmer que l’aromathérapie guérit à tous les coups l’ensemble des syndromes serait exagéré, mais l’usage bien compris et patient de ces traitements, minimise ou supprime les problèmes, en particulier les maladies chroniques et apporte à coup sûr un bien-être.


L’usage des huiles essentielles, possède le rare privilège d’être à la fois, la plus ancienne et la plus actuelle des thérapeutiques pour prévenir et guérir. « Beaucoup de choses renaîtront, qui étaient depuis longtemps oubliées » écrivait déjà Horace. Un visionnaire ?

citron (10 ml)
menthe poivrée (10 ml)
lavande officinale (10 ml)
cèdre de l'Atlas (10 ml)
cannelle de ceylan (10 ml)
niaouli (10 ml)
petit-grain bigaradier (10 ml)
mandarine jaune (10 ml)
eucalyptus citronné (10 ml)
gaultherie (10 ml)

http://www.ephyto.com/les-soins-naturels-minceur.001020.html

 

 

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