voici une coutume que j'ai apprise auprès d'un ami medium :

la nuit de noël mettre dans un sachet :

  • une bouteille d'eau minérale
  • une tranche de pain
  • un peu de monnaie
  • un kg de sel
  • trois bougies blanches

laisser ce sachet dehors toute la nuit de noël,

les bougies vous serviront pour demander à la vierge d'exaucer trois voeux

la tranche de pain sera déposée au dessus de l'armoire( afin que de ne pas manquer de nourriture toute l'année)

la mitraille dans votre porte monnaie ne pas la dépenser ( pour ne pas manquer d'argent)

le sel depose dans une coupelle protégera votre maison

l'eau pour soigner les petits maux

cette coutume est sympa et il ne coûte rien d'essayer sauf que cela peux se révéler vrai.

 

.COUTUMES DE NOEL EN PROVENCE.

Les Traditions de Noël

LE BLE DE SAINTE BARBE (4 décembre)

le premier événement qui marque le début de la quarantaine de Noël est sans conteste la Sainte-Barbe qui se déroule le 4 décembre. Ce jour-là, il est de tradition de planter dans une petite soucoupe du blé et des lentilles.

Les jeunes pousses représenteront dans la crèche les champs et constitueront un présage pour la prospérité de la famille durant l'année à venir. On dit : "Quand lou Blad vèn bèn, tout vèn bèn" (quand le blé vient bien, tout vient bien).

Ces petites soucoupes de blé sont généralement choyées, on les déplace du bord de la cheminée au soleil de la fenêtre. Il était de tradition qu'avant que le blé ne commence à dépérir faute de place pour ses racines, on aille le planter aux quatre coins d'un champ ensemencé car cette pratique permet semble-t-il d'obtenir de meilleures moissons.

Au sujet de ce blé, on trouve quelques anecdotes. Ainsi, dans le Var, on gardait un peu de blé séché de la Sainte-Barbe et, lors de gros orages, on en jetait une pincée dans le feu en invoquant Sainte Barbe, protectrice des artificiers, pour qu'elle protège la maison de la foudre.

C'est à partir de cette date également que l'on va mettre en bonne place dans la maison la fameuse crèche provençale, mais nous y reviendrons en détail.

"L'ARGUS" DES JEUNES FILLES DU VILLAGE

Si la tradition du blé s'est relativement bien perpétuée, il est par contre une tradition qui, elle, ne doit plus beaucoup se voir.

Il était de coutume, durant les 4 semaines qui précédaient Noël, d'aller donner l'aubade aux jeunes filles que l'on souhaitait épouser. Encore plus particulier, on rapporte qu'en certains lieux du Var et des Alpes Maritimes, la veille de Noël, chaque jeune fille devait faire un gâteau, ceux-ci étaient récupérés par l'abbé de la jeunesse qui les entreposait jusqu'au lendemain de Noël. Ce jour-là, toute la jeunesse se rassemblait sur la place du village et les gâteaux étaient mis aux enchères.

Avant de lancer les enchères, il était de coutume de faire l'éloge de la pâtissière. Cette tradition permettait deux choses, aux jeunes hommes de régler leurs comptes ou déclarer leur amour à une jeune fille et aux jeunes filles de juger sur des actes leur galant qui devait tout faire pour acquérir le gâteau de sa belle.


Le Gros Souper de Noël

En Provence, comme dans bien des régions de France, le soir de Noël est une fête familiale par excellence. Comme dans bien des cas, il faut reconnaître tout de même que notre région a mieux perpétué qu'ailleurs les vieilles traditions et qu'ici on doit certainement fêter la Noël en sachant mieux qu'ailleurs la signification de certaines actions ou coutumes.

Ces coutumes, nous allons vous les faire découvrir...

 

Le "Cacho-Fio"

Cette tradition prend certainement sa source dans les fêtes païennes très anciennes liées au solstice d'hiver qui donnaient lieu à de grands feux de joie comme cela peut encore se pratiquer en été lors de la Saint-Jean.

Le soir de Noël, lorsque la table de fête est dressée, le plus âgé de la maison aidé du plus jeune choisit la plus grosse bûche possible parmi la provision de bois pour l'hiver (parfois il est question de chêne, parfois de bois d'arbre fruitier). Ensemble, tenant la bûche chacun à un bout, ils font trois fois (symbole de la Trinité) le tour de la table avant de la mettre dans la cheminée, l'aïeul l'arrose d'un verre de vin cuit en prononçant les paroles suivantes :

Allégresse, allégresse !

Mes beaux enfants, que Dieu nous réjouisse !

Avec Noël tout bien vient,

Dieu nous fasse la grâce de voir l'an qui vient,

Et, si nous ne sommes pas plus, que nous ne soyons pas moins.

Cette bûche, qui rappelons-le était choisie bien grosse, devait brûler doucement dans un coin de l'âtre jusqu'à la nouvelle année. On peut dire que si cette coutume n'est plus trop respectée de nos jours, il reste dans toutes les régions la bûche de Noël, celle fabriquée par le pâtissier qui permet de donner une certaine survivance à cette tradition très ancienne.

 

Le "Gros Souper"

Après cette tradition du "Cacho-Fio", commence à proprement parler le "Gros Souper" de Noël qui permettait de patienter jusqu'à la messe de minuit.

Ce qui frappe lorsqu'on étudie ce repas de fête, c'est que ce dernier est un repas maigre qui privilégie les légumes aux viandes et aux sauces grasses. Ce repas devait proposer une profusion de plats confectionnés avec tout ce dont on disposait comme denrées sur place. Ceci fait que suivant les lieux on note d'assez importantes disparités quant au contenu des assiettes. Malgré tout, encore une fois, la constante principale est que chacun des plats est constitué principalement de légumes.

 

La table de fête

La table de fête devait être recouverte de trois nappes, éclairée par trois chandeliers (symbole de la Trinité) et tous les plats devaient être présentés en même temps au début du repas (desserts compris). Suivant les lieux, la première nappe était enlevée avant les desserts. En fin de repas, la table ne devait pas être desservie, on nouait juste les coins afin qu'il ne traînent pas sur le sol et que de mauvais esprits ne puissent monter sur la table.

On ne desservait pas la table car, ainsi, les ancêtres pouvaient durant la nuit venir participer au repas comme les vivants.

La place du pauvre

Dans bien des endroits, il est également de tradition de laisser une place vide au cas où un indigent se présenterait pour partager le repas. Cette tradition s'appuie plus à l'origine sur le fait que cette place d'honneur servait à honorer le souvenir des parents disparus plutôt qu'à accueillir quelque mendiants.

Le menu

Comme nous l'avons dit, le gros souper était constitué de légumes et de fruits produits sur place par chaque famille. Par conséquent, suivant les lieux et les productions, il ne ressort pas de mets traditionnels mais plutôt plusieurs spécialités parfois très localisées, nous citerons Mistral qui décrit un menu de Noël ainsi :

Escargots (passés nature 2 à 3 minutes sur la braise), morue frite, muge aux olives, cardes, cardons, salade de céleri, fougasse à l'huile et les treize desserts.

On peut constater que ce menu, même s'il fait état de nombreux plats, est constitué de mets simples, bien que Mistral fut issu d'une famille aisée.

Les treize desserts

Le met qui est resté le plus populaire est le dessert. En respectant le même esprit que le reste du gros souper, la tradition cite 13 desserts (nombre des apôtres), mais encore une fois il est quasiment impossible de définir une liste précise et immuable de ces derniers. La constitution de ces desserts est d'ailleurs chaque année un sujet de discussion assez houleux. Pour ne pas verser dans la polémique, nous dirons que là également ce qui compte c'est de faire avec ce que l'on trouve sur place. Voici un exemple parmi d'autres qui provient de la région de Brignoles :

Raisins, figues, amandes, prunes, poires, pommes, cédrats (citrons) confits, confiture de coing, fruits au moût de raisin, nougat blanc, nougat noir, galettes au lait, pompe à l'huile d'olive.

En bref, si vous souhaitez vous aussi faire les treize desserts, ce qui est important c'est qu'ils soient treize et que tous soient sur la table en même temps. Petit détail, les desserts étaient accompagnés de vin cuit.

Ces treize desserts concluaient le gros souper et permettaient de faire patienter jusqu'à la messe de minuit. Il est à noter également que la messe ne concluait pas pour autant la soirée, on passait généralement la nuit à veiller en racontant des anecdotes du passé, en jouant parfois aux boules, en faisant toutes sortes de farces bruyantes et en dégustant l'anchoïade dans laquelle on trempait des coeurs de céleris.

 

Les traditions de noël en Alsace

L'Alsace est une région riche en tradition, qui font sa spécificité. Noël, en Alsace, présente un certain nombre d'aspect typqiue, largement répendu aujourd'hui. Vous trouverez dans cette page, un certain nombre de ces traditions, ainsi que leur significtion.

La Couronne de l’Avent :

Elle symbolise la période précédent Noël et débute le dimanche le plus proche de la Saint André. Elle est ornée de quatre bougies qui sont l’emblème de l’attente de la naissance du Christ ; symbole d’espérance et de lumière.
Vous découvrirez des couronnes en tout genre, le plus souvent agrémentées de branches de sapins, de bâtons de cannelle, de rondelles de citron ou d’orange, sans oublié l’ange qui nous protège.


La Saint Nicolas :

Saint Nicolas, fêté en Alsace et en Lorraine reste un mythe pour les enfants. Ces derniers mettent leurs bottes devant la porte afin que Saint Nicolas, patron des écoliers leur rapporte le 6 décembre des friandises ainsi que pains d’épice et clémentines.
Mais n’oublions pas notre “Männele” en brioche qui est également l’un des symbole de cette fête.


Le Père Noël :


Qui dans son enfance n’a pas été ébloui par cet homme mythique qui nous a fait rêver et nous a gardé éveiller pendant dans heures tant nous l’attendions. Nous le guettions par la fenêtre afin de le voir arriver sur son magnifique traîneau et quelle déception le jour où l’on apprend que cet homme certes très vieux n’est finalement qu’un rêve dans la vie de chaque enfant.
Son habit tout rouge et sa hotte remplie de bonbons et de clémentines a toujours autant de charme et est très souvent la crainte des enfants qui n’ont pas toujours été sage.
Il reste bien ancré dans nos traditions et fait partie du rêve de tout un chacun.
Son adresse est connue de tous ; oui la lettre au Père Noël reste une tradition dans les familles et permet aux enfants de faire leurs choix en cadeaux.


Christkindel – Père Fouettard – Hans Trapp :


Ces trois personnages font également partie du mythe de Noël. On associe à l’image du Christkindel une jeune femme douce tout de blanc vêtu et représentant la féerie des nombreuses légendes alsaciennes. Elle est souvent accompagnée du père fouettard ou du Hans Trapp afin de faire peur aux enfants. Ces personnages légendaires que l’on voit de moins de moins avaient pour objectif d’effrayer les enfants, et d’en faire des anges dans cette période de l’avent.


Le sapin :

Autre symbole de Noël, cet arbre que nous ornons des plus beaux atours permet à tout un chacun de vivre cette magie au sein de son foyer. Au début l’arbre était uniquement orné de pommes et d’hosties alors que maintenant nous l’agrémentons au gré de nos envies.
Actuellement chaque village, chaque ville à son ou ses sapins décorer de merveilleuses façons.

La crèche :

Représentant la nativité du Christ, la crèche reste l’élément important de Noël. La coutume veut que l’on ne dépose l’enfant Jésus qu’après les douze coups de minuit et qu’on approche chaque jour un peu plus les rois mages venant faire leurs offrandes.
Devenue de plus en plus rare, les crèches vivantes vous font revivre cette naissance symbole de joie et d’espérance.


La messe de minuit :

En cette veillée de fête et d’attente elle représente la délivrance ainsi que la joie et l’acclamation à la vierge ayant donnée naissance à l’enfant Jésus.


Les marchés de Noël :

Les marchés de Noël sont la tradition de l’Alsace et apparaissent en même temps que le début de l’avent.
Au début les marchés de Noël ne se faisaient que dans les grandes villes, actuellement ils s’étendent jusque dans nos campagnes afin d’y apporter la magie. Ces derniers sont souvent animer par des crèches vivantes et les légendes de Noël.
Les senteurs de vin chaud et des bredele de Noël vous accueilleront et vous guideront tout au long de votre parcours où vous découvrirez des accessoires pour votre sapin, des crèches, des santons, de l’artisanat en tout genre sans pour autant oublier les magnifiques jouets en bois.


Les illuminations :

En cette période de fête vous pourrez au détour des routes voir de magnifiques décorations que ce soit par les illuminations communales qui font des merveilles mais également grâce aux habitants qui en cette période décorent leur maison et en font un lieu festif.
Laissez-vous porter par ses beautés qui vous rendent votre côté enfantin. Vous verrez des Pères Noël escaladant les murs afin d’atteindre la cheminée, des cerfs ainsi que le traîneau et pleins d’autres merveilles.
Vous voulez découvrir une forêt illuminée : alors rendez-vous à Grendelbruch où vous vivrez un instant magique.


Les contes et légendes
:


Laissez-vous bercer par les histoires de gnomes et de lutins d’Alsace qui vous raconteront de façon très discrète leurs histoires mais également la façon dont ils préparent Noël.
La beauté mais également la tristesse de certains contes vous rendront votre âme d’enfant et feront la joie des plus petits.

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